Ou se sont rencontres maximilien 2 et marie dautriche, Marie-Thérèse d'Autriche () — Wikipédia
Vers le système dualiste[ modifier modifier le code ] Après la défaite, le système néo-absolutiste est contesté.

Mais le diplôme suscite contre lui une levée de boucliers de la bourgeoisie allemandetout comme des libéraux hongrois qui le jugent trop modéré. La patente du 26 février établit une nouvelle constitution.

Celle-ci marque un net retour au centralismemême si les diètes conservent encore quelques pouvoirs. Après avoir été tenté par la répression, François-Joseph accepte de négocier. Enil renvoie Schmerling et nomme le fédéraliste Richard Belcredi Premier ministre.

La rivalité avec la Prusse[ modifier modifier le code ] François-Joseph en photo de Joseph Albert. Pour contrer la Prusse sur le plan politique, François-Joseph réunit un Congrès des princes à Francfort le 16 août Mais par son absence, la Prusse rend nulles les décisions du congrès qui se termine donc par un échec.

Toutefois, François-Joseph croit naïvement à un retour de la Sainte-Alliance et accepte un partage des duchés, recevant le Holstein pacte de Gastein. Article détaillé: Guerre austro-prussienne. Après la guerre des Duchés, Bismarck prépare l'offensive finale contre l' Empire d'Autriche.

Il s'assure de la neutralité de la France et conclut une alliance avec le Royaume d'Italiequi recevrait en échange la Vénétie. Sentant la menace, François-Joseph tente d'empêcher le conflit et accepte même la cession de la Vénétie sur une proposition de Napoléon III. De plus, afin de reprendre l'avantage auprès de ses alliés allemands, il propose un vote d'autodétermination populaire sur l'avenir du duché de Holstein.

Mais il précipite ainsi le conflit qui éclate le 14 juin Officiellement, l' Empire d'Autriche peut compter sur le soutien de la Confédération germaniquemais seul le royaume de Saxe la soutient fermement. Dépassées par la modernité de l'armée prussienne, les troupes autrichiennes reculent rapidement et finissent par être écrasées à la bataille de Sadowa le 3 juillet François-Joseph est alors contraint de demander la paix, qui est conclue par les traités de Prague et de Vienne.